Je me présente Garret John Hopkins. Je suis né le 15/05/1986 à Quantico, ce qui me fait 26 ans et promis, j'ai toutes mes dents ! Je suis en ville depuis 6 ans. Pour moi, les plus sexy sont les femmes et je suis actuellement en relation libre. Je suis professeur de maths en lycée et j'aime ce que je fais. Oh je vous ai pas dit... j'ai un don, je suis un génie en calcul. Niveau caractère, on dit de moi que je suis courageux, très intelligent, mature mais également coureur de jupons, surprotecteur ainsi que très bagarreur. On me dit souvent que je ressemble à Dave Franco mais en plus canon évidement. Et dernière petite info', j'appartiens au groupe That's What Makes the World Go Round et je suis un scénario.
 

Ah, la famille ... une grande partie de ta vie. Oui, toi, Garret, qui est le premier d'une fratrie de quatre enfants. Tu as rapidement endossé le rôle de second père, quand ce dernier était absent, c'est-à-dire ... tellement souvent, vu sa carrière de militaire. Tes parents étaient jeunes quand ils t'ont eu, mais ils t'aimaient. Tu étais aimé, Garret. Ensuite, ta petite soeur et ton petit frère sont nés, une paire de jumeaux, cette fois-ci ... tu as toujours été jaloux de leur lien. Oui, ils étaient tellement proches, et toi même, tu aurais aimé avoir une soeur jumelle. Quelques années plus tard, ton dernier petit frère est né. Une belle famille tout ça. Oui mais. Toi, tu savais tout. Tu n'étais plus si petit, et assez intelligent pour comprendre ; oh oui, surtout toi. Tu savais bien que quand ta mère rehaussait ses lèvres d'un rouge vif et s'habillait avec des vêtements plus courts qu'au quotidien quand ton père n'était pas là, ce n'était pas pour faire joli. Enfin, si, à proprement parler. Et tu faisais l'autruche. Tu ne disais rien. Et tu savais que la vérité éclaterait ; malheureusement, elle a éclaté bien trop tôt. Par la faute - ou grâce à ta seule petite soeur. Bravo, frangine. Depuis, ta famille est brisée. Et tu la laisses en milles morceaux. Tu ne fais rien pour arranger ces problèmes.
 

La jeunesse ; tu ne t'en souviens même presque plus. Tu sais juste que tu étais un gros dur, un gros caïd, toujours le garçon qui mène la barque. Des amis, tu en avais. Populaire, ça, tu l'étais. Tu sortais très souvent, pour aller rejoindre des amies, des amis ... mais tu préférais la première option. Forcément ... Tu ne comptes même plus le nombre de fois où tu as séché les cours. Tu t'ennuyais là-bas, au collège ... tout était bien trop simple. Enfin, ça, c'est parce que quelques années après, tu as été diagnostiqué comme surdoué. Un terme bien faible, entendez-vous ! Pendant que tu faisais l'école buissonnière et que tu ne voyais pas des filles, tu aimais faire du sport. Du football américain, surtout. Et tu t'es écorché les genoux si souvent ... mais tu en étais fier. Même devant tes parents. Tu te souviens, aussi, de quelques anecdotes ? Par exemple, lorsque tu faisais du chantage avec tes petits frères ? Combien de fois tu les as dénoncé de quelque chose qu'ils n'avaient jamais fait ? Oups. Et puis Roxy, tu lui tirais tout le temps les cheveux ... et tu la remettais tout le temps dans le bon chemin. Elle t'en doit une bonne, la frangine. Par conséquent, dirons-nous, tu as eu une enfance plutôt heureuse.
 

Thèse, synthèse, antithèse ! Préparez-vous au récit le plus fourni de l'univers sur l'amour, sans grand a, bien entendu. Tu aimes les filles depuis ta première maternelle ; espèce de coureur de jupons. Combien tu as eu de petites copines durant toute ton existence ? Une, deux, trois ... même tes deux mains ne te suffisent pas pour compter. Héloïse, Gwen, Catherin, et tu en passes. Les femmes, ce sont les meilleures. Tu n'as jamais à proprement parler, connu le vrai amour, le grand Amour. Juste des flirts et des coups d'un soir ... ton père et tes frères - ainsi que ta petite soeur, ne l'oublions pas -, ne s'étonnaient même plus de voir une nouvelle fille entrer dans ta chambre. Oui, parlons-en de ta chambre ! Non ? Tant pis. En même temps, tu as un charisme fou et tu es un vrai séducteur. Toutes - j'ai bien dis toutes - les filles te tombaient dans les bras. Pauvres petites. Et tu continues ... tes fameuses conquêtes féminines ne s'arrêteront-elles donc jamais ? Non, jamais. Tu aimes trop ça.

Tu penses que tu as un parcours simple ; loin de là. S'il vous plaît, monsieur a fini major de sa promotion. Avec quatre ans d'avance. Tu n'aimes pas utiliser le mot "surdoué", malheureusement, cela te suivras encore pendant longtemps ... tu as comme un don avec les chiffres. Une équation à je ne sais quel degré et à je ne sais combien d'inconnues ? C'est simple ! C'est un talent. Un don. On t'a incité à faire partager ce don avec d'autres personnes, et c'est pour ça que tu es devenu professeur de mathématiques en lycée. Tes élèves t'aiment, te respectent ... un peu trop. Certaines minettes devraient arrêter de draguer son prof ... c'est pas super bien. Bref, tu as eu ton diplôme de professeur très tôt, et tu as commencé à enseigner il y a maintenant trois, quatre ans ? Et oui. Les universités, lycées, et collèges se sont arrachés ton talent ; mais tu as dis oui à un lycée. Oui parce que tu aimes les adolescents de cette tranche d'âge ; tu aimes leur fournir le savoir et la culture. Et ils te le font comprendre.

 
Il fait sombre. Toi, Garret, tu arpentes les rues de Quantico, comme toujours. Ton histoire, tu la connaît bien. Elle n'a même plus besoin d'être racontée. Beau bébé, des parents jeunes et qui t'aiment, petit garçon modèle, oui, ça tu sais. C'est ensuite que ça se gâte. Fumeur, buveur, l'âge rebelle de l'adolescence. Les copines, les fêtes, les virées avec les copains. Il fait sombre. Tu arrête l'alcool, la drogue. Tu te remets sur le droit chemin. Comme tu l'as fais pour ta soeur. D'un coup, il fait plus clair. Tu grandis, tu comprends, tu vis. Tes parents divorcent, ta mère part. Ton père reste avec toi et tes frères et sœurs. Tu endosse le rôle de second papa. Tu deviens un homme, un vrai. Tu es Garret, et il fait bien plus beau qu'avant.