Je me présente Conrad Dlack. Je suis né(e) le 27/10/1991 à Tijuana, ce qui me fait 23 ans et promis, j'ai toutes mes dents ! Je suis en ville depuis 5 jours. Pour moi, les plus sexy sont les femmes et je suis actuellement célibataire. Je suis pilote dans l'armé Américaine et j'aime ce que je fais. Oh je vous ai pas dit... j'ai un don ( celui de pouvoir communiquer par télépathie avec mon frère jumeaux ). Niveau caractère, on dit de moi que je suis rebelle +, bagarreur +, insaisissable + mais également courageux -, protecteur - et bon vivant -. On me dit souvent que je ressemble à Taylor Lautner mais en plus canon évidement. Et dernière petite info', j'appartiens au groupe The Star-Spangled Banner et je suis un personnage inventé.
 

La famillia et moi, c'est une grande histoire d'amour qui finis mal et bien à la fois. Je suis Mexicain, je dois donc rappeler à ceux qui l'ignore que pour moi, la famille c'est tout. Rien n'est plus important qu'eux, pas même le soleil, ni même le centre de la terre ou même la dernière coupe de Justin Bieber. Pour faire court, j'ai un père et une mère comme à peut prêt tout le monde au détails prêt que mon père est mort dans le courant de l'année de mes 8 ans. Ouais, je sais, y'a rien de drôle là dedans. Mais c'est pire encore si je vous raconte qu'il c'est simplement fait descendre devant moi et mon frère un petit matin anodin, sans histoire, comme ça, simplement. Bon... j'ai pas besoin de vous dire que ça nous à légèrement traumatisé et que curieusement, on a jamais dit à mi mama qu'on avait assisté en directe à la scène. Pourquoi ? Par ce qu'on est des Dlack et un Dlack ne ce pleins jamais. Pas même devant le cadavre tremblant et sanguinolent de son propre père. Enfin... si, je crois qu'on a pleuré, sur le coup. Mais quoi de plus normale au final ?

Vous avez certainement dus noter que je vous est parlé de mon frère, mais il manque un détails, THE détails. En effet, c'est pas juste un frère, c'est mon double, mon jumeaux. Une copie parfaite de moi même. Pas besoin de miroirs chez nous, ont ce ressemble tellement qu'il est très difficile de nous différencier. Je vous passe les détails des conneries qu'on a pus faire grâce à cette petite merveille génétique.
Néanmoins, je dois vous prévenir que nous somme plus qu'atypique en notre genre. En effet, depuis nino nous somme capable de communiquer par télépathie. Cool nan ? Au départ, on avait pas conscience de notre "don", mais c'est ensuite, par la force des choses, en grandissant, qu'on a compris que nous n'avions rien de normal.
Évidement, on a aussi préservé le secret, c'est bon à garder dans la manche ça nan ?

Enfin bref, tout ça pour dire que la famille, c'est mon centre de gravité. Kéonie, mon frère, l'es d'autant plus. Ça me tue de l'avouer, mais je pourrais difficilement me passer de lui. Avec lui à mes cotés, je suis.... entiers.
 

Je crois pas qu'on puisse parler de blanc ou de noir, un passé, c'est joyeux ET triste à la fois. On a tous nos boulet au pieds. Enfin je pense.

Le miens étais pauvre, très pauvre. J'ai grandis dans les fameux bidonville que les rico regarde à la télé en nous plaignant, un paquet de chips à la mains. Ralent sur nos pitoyable condition de vie à chaque bouché de patates salé.
Sauf que moi j'y étais vraiment, j'ai connus la faim, la soif, la maladie, la galère des champs de tomate sous 40c, la pression des gangs, tout ça quoi..
Imaginez un gosse sale, pied nus, jouant dans la poussière noir de crasse, foulé par des bardeaux affamés, habillé avec un simple short troué et un t-shirt délavé. Bah voila, vous y êtes, c'étais moi. Sauf que vous oubliez le sourire. J'avais toujours le sourire, même si mes yeux étais mauvais comme la galle.
Nous somme pauvre, oui, terriblement pauvre, mais... comment expliquer à un riche que: moins on possède, plus on arrive à être heureux ?
J'étais libre, libre de crever de faim, mais aussi libre d'aller me noyer dans l'océan sans inquiéter personne. Je pouvais jouer avec mes potes dans la boue, courire après les filles, jeter des pierres sur les belles bagnoles des rico. Personne ne nous disait rien. Nous n'étions rien. Pas même mieux considéré qu'un vieux chien abandonné.

Je ne regrette pas ces années. Elles étaient belle. Elles ont fait de moi l'homme vivant et libre que je suis aujourd’hui.

Ce que je déplore, c'est la suite...

Dans nos petites casa faite de quelques murs en béton, nous subissons une pression énorme des gangs qui sévices toujours dans les pays pauvres. C'est comme ça, c'est un fait et ce n'est pas les rico qui y changerons quoi que ce soit. Et donc un jours, quant vous êtes suffisamment fort pour vous battre et pour les servires, ils viennent... Ils vous disent que si vous ne courbez pas l'échine, ils violerons votre mère, votre grand mère, votre sœurs... Alors vous... en bon Mexicain, vous vendez votre âmes ou votre sœurs...

Pour entrer dans un gang, on passe un période dite "d'intégration", une magnière de cacher le mot torture. Kéonie et moi avons passé 23 jours dans une cave, attaché, complètement nue à nous faire torturer. Pourquoi ? Notre putain d’ego. Pour terminer l’intégration, il faut embrasser les pieds du gros porc, souvent bien gras, qui est à la tête du gang. Et... si vous nous connaissiez juste un minimum, vous comprendriez vite ce qui à posé problèmes... Ce soumettre... c'est pire que de s'arracher les yeux pour nous...

Bref, s'ensuit une longue période de "service" qui s'étire sur environs deux ans. Jusqu’à ce que ça dérape. Le gang ce fait prendre. T'en mieux pour les jeunes et tempis pour nous. Devant nos dossier, les deux seules véritables options qui s'offrais à nous étais... la prison ou l’armé Américaine...

Drôle de magnière de nous asservir à nouveaux nan ?

Alors quant vous me demandez si mon passé est joyeux ou triste, j'ai envie de vous répondre joyeux. Nan par-ce qu'à force de devoir me battre, j'ai l'impression de ne plus rien sentir. Tu sais le: essais toujours, j'ai déjà tout perdus, tout vus, tout subit.

Torture, guerre, déracinement. La vie ma tout appris. C'est donc positifs nan ?

Amen...
 

Le grand amours ?! C'est de l'humour ? Je suis Latino, mec, j'aime les femmes, mais vraiment, mais je préfère ne pas m'attacher. Une nuit, une aprèm, une heure, un matin, c'est entièrement suffisent.
Le reste, je le laisse pour les loveurs, y'en a suffisamment pour ça.

Je me décrirais plutôt comme un très très très grand coureurs de jupons. J'aime le jeux de la séductions. C'est même un principe de base pour un mec comme moi.
Je préfère pas vous chiffrer mon nombre de conquête, vous pourriez arriver à me traiter de salope. Perso', je dirais plutôt que j'aime goutter aux choses de la vie et j'arrive sans mal à me dégoter facilement une belle chica pour la nuit. Sa doit être le teins matte qui me donne tant de succès nan ?

Tout ça pour dire que si vous avez une belle gueule et que vous avez des envies de vous envoyer en l'aire, je répondrais, si vous êtes pas trop chiante, présent.

Des études ?! C'est une blague ça aussi ?

Moi, là seule chose que la vie m'a appris, c'est me battre. Y'avais pas d'école au Tijuana, c'est comme ça. On passait notre temps à essayer d’apaiser notre faim monstrueuse. Enfin... d'un certain coté, j'ai envie de dire que pour le coup, je n'ais pas subit le lavage de cerveaux que ce mange les étudient des pays riches. Nan, moi ce que j'ai appris seul ou en groupe pendant mon enfance c'est l'agilité, les techniques de combat, la réflexion, la débrouillardise, tout ça quoi. A force de s’efforcer de rester en vie, on finis par devenir malin, très malin.

Sinon, concrètement, on ma découvert très intelligent quant j'ai débarqué à l'armé. Je vous rappel que je suis Mexicain. Rentrez donc dans un stage militaire en captant pas un mot d'anglais, tiens...
Mais leurs truc de survie là, moi je l'appliquais depuis nino à des degret parfois plus intense qu'a l'armé. Il ne me restais plus qu'a apprendre l'Anglais et croyez moi ou non, mais en 3 mois, ce fus torchés. Quant on a pas le choix, on ce démerde ou on coule. Je suis pas fait pour me laisser aller, alors j'ai avancé. J'ai appris énormément de chose que j'ignorais et j'ai terminé pilote de l'armé Américaine. Franchement pas mal pour un petit Mexicain sans avenirs, nan ?

Donc concrètement, j'ai encore un peut de mal à coucher sans fautes d’orthographe un anglais parfais, j'ignore tout des aspect littéraire de votre société, mais à coté de ça, je sais survivre dans un milieux hostile, me battre comme personne, conduire une bécane, un avion, écouter mes instincts et.... ha ouais, j'ai la danse dans la peau, normale pour un latino nan ?

 
Ici, il suffit d'écrire le reste de l'histoire de votre personnage. Dites nous s'il a vécu l'explosion de la bombe, où était-il ? Que fait-il maintenant ?  Tu as le champ libre.