Je me présente Matthew Noah Johnson de mon vrai nom Matthew mais tout le monde aime bien m'appeler Matt ou Matty enfin juste pour ma mère, à savoir pourquoi, elle adore ce surnom de gamin. Je suis né(e) le 1 mars un jour de soleil surtout que j'ai vu le jour à 1 heure du matin donc y'avait beaucoup de soleil à Quantico, la superbe ville qui ne dort jamais, d'ailleurs moi non plus, ce jour-là, ma mère a pas réellement dormi. Ce qui me fait 23 ans et promis, j'ai toutes mes dents et je sais compter ! Je suis en ville depuis environ mes 16 ans avec ma famille. Pour moi, les plus sexy sont les femmes et je suis actuellement célibataire mais totalement sous le charme de la plus belle brune au monde, mais c'est un secret donc faut pas le dire. Je suis Militaire depuis quelques années maintenant et j'aime ce que je fais. Oh je vous ai pas dit... j'ai pas de don. Niveau caractère, on dit de moi que je suis blagueur, Impulsif, Franc mais également Rusé, Séducteur ainsi que Confiant. On me dit souvent que je ressemble à SamSam Claflin mais en plus canon évidement. Et dernière petite info', j'appartiens au groupe The Star-Spangled Banner et je suis un scénario de la plus belle créactrice au monde .
 

Vous savez ? J’ai toujours cru qu’une naissance pouvait ramener du bien dans une famille, une naissance pouvait faire de vous, une nouvelle attraction de la vie avant qu’un autre n’arrive, etc. Mais finalement, une naissance peut également éclater une famille, la détruire totalement sans que personne ne puisse s’en rendre compte sauf les responsables. Et moi, je fais partis des enfants qui comme tout le monde, deviennent des personnes normales et qui veulent écrire une histoire, une nouvelle histoire, leur histoire alors voici mon histoire.



Né le 1er mars à Quantico, j’ai disons été rapidement dans le bain familiale. Même si être le troisième d’une famille quatre enfants ne fait pas souvent l’unanimité, j’avais réussi à imposer ma loi avec mes pleurs et mes rires, bien sûr, pendant simplement quelques mois de ma vie. Avant moi, il n’y avait que Leila et Gauthier. Et derrière Judith. La petite Judith que tout le monde adorait. Non n’avions que dix-huit mois d’écart et je ne faisais que de m’occuper d’elle malgré tout, une petite fille adorable et totalement tendre avec tout le monde. Quant aux deux grands, c’était simple, ils avaient respectivement dix et quinze ans, disons surtout que je les ai connu quelques années avant qu’ils ne partent chacun de leur côté en nous laissant Judith et Moi avec papa et maman. Je ne lui en voulais pas, pourquoi leur en vouloir ? Faire leur vie était bien plus intéressant, que changer les couches de deux bébés non ? Néanmoins, un soir, nous n’avions pas encore cinq, mes parents eurent un coup de téléphone, sans doute grave, mais depuis ce soir-là, je n’eus plus de nouvelles de mon grand frère, celui qui était partit à l’armée, celui qui avait combattu pour son pays, celui qui avait été un homme fort pendant un moment de faiblesse. Leila ne donna plus de nouvelles non plus. Ma vie commençait à basculer, malgré le soutien de ma petite sœur, je devenais de plus en plus, préférant sortir et rester avec mes amis plutôt que de vivre à la maison. J’avais besoin de liberté. Le jour de mes treize ans, une terrible dispute commença à éclater alors que Judith dormait chez une de ses copines, énervé, j’étais parti rejoindre une amie, Roxy, une petite blonde adorable et totalement géniale que j’aimais beaucoup. Malheureusement, tout n’était pas rose non plus chez elle. Puis les soirs passèrent et plus mes parents continuèrent de se disputer, et moi j’allais que chez Roxy. Petit à petit, je compris qu’elle pouvait être là pour moi et inversement. Comment être aussi gentille alors qu’elle me connaissait à peine. Néanmoins, je continuais à venir, nous fréquentions le même collège et notre amitié grandissait en même temps que nous. Mais pas la simple amitié débile, une vraie amitié, celle que nous ne voulions jamais cassé .. Jusqu’au jour où ..



Je n’avais pas le choix, Roxy déménageait et moi je voulais partir, partir d’ici très loin, partir pour ma vie, ou partir simplement. Je décidais alors après plusieurs années de réflexion et de conseils de ma meilleure amie de m’inscrire à l’armée de terre. Je savais que Gauthier allait être fier de moi et c’était tout ce qu’il me fallait. Je voulais le rendre heureux, je voulais le rendre fière de moi. Je voulais que là au haut, il me regarde avec une grande notoriété. Après tout, je ne l’avais pas revu et malgré mon passage chaque jour, je me demandais si tout allait bien, là ou il était.. Alors j’annonçais la bonne nouvelle à mes parents, attendant des cris mais finalement ce fut des pleurs, ils étaient aussi très fiers de moi et décidèrent de déménager directement là-bas mais finalement rien se fit. La maison eut du mal à se vendre et mes parents commencèrent à parler de divorce sans arrêt. Je pris donc Judith avec moi et partit pour Burlington. Nous avions investi tous deux dans un appartement rien que nous deux, pour pouvoir commencer à vivre. J’habitais non loin de Roxy et Judith non loin de l’université. Mais comme à chaque voyage, il eut un hic. Nous fîmes alors nos bagages pour rentrer finalement à l’intérieur du camp, là où devait habiter les personnes qui travaillaient pour l’armée, mais Judith, après quelques mois intenses, décida de rester chez son petit ami trouvé là-bas. J’en étais heureux et malgré mes dix-huit ans, je savais que cela était devait continuer.




Quelques jours après avoir reçu mon deuxième grade, celui de caporal, j’avais en fait, travaillé très dur pour l’avoir, après tout je n’avais que vingt-trois mais j’étais heureux, je reçu donc un message de Judith que je n’avais pas vu depuis quelques mois maintenant. Elle m’attendait à l’hôpital pour une bonne nouvelle. J’en étais heureux mais d’un côté, pourquoi était-elle à l’hôpital. En tenue plutôt stricte, vu que je venais de sortir d’une réunion importante avec le Major, je pus comprendre que je venais d’être tonton, d’un petit neveu. Heureux par tout ça, j’avais fait les cent pas dans la salle d’attente pour essayer d’avoir mes parents, mais rien. Inconnu au bataillon comme disait mon ancien chef, puis finalement, elle était là. J’affichais un petit sourire en découvrant cette magnifique petite blonde, parfaite devant moi, assise pour X ou Y raisons, je n’arrivais pas à enlever mes yeux de son corps. Comme si une déesse grecque au prénom imprononçable venait de faire son apparition devant moi. Je m’assis néanmoins à ses côtés, enfin non loin d’elle puis entama une conversation des plus normales avant qu’elle ne soit appelé. Mais elle me laissa un sourire. C’était tout ce dont j’avais besoin. Une magnifique jeune femme, face à moi, comment y résister.  Les journées passèrent, impossible de remettre la main dessus, sans doute parce qu’il s’agissait d’un mirage de l’hôpital, puis finalement une seule fois. J’avais décidé de courir loin de la base pour pouvoir me ressourcer qu’elle était là dans le parc à lire un livre sur un auteur dont je ne connaissais pas le nom, mais qu’importait. J’avais voulu l’aborder puis hésita avant de me lancer réellement. J’avais réussi à avoir son numéro et même un café dans l’heure suivante. Comment refuser ?



J’avais été invité au mariage de ma sœur, un enfant à vingt-deux ans, et un mariage à vingt-trois, je n’en revenais pas d’ailleurs, qu’elle soit aussi jeune mais elle aimait cet homme et je l’aimais bien aussi. Que dire de plus. Roxy m’avait poussé à inviter Roxanne et elle accepta. D’ailleurs ce jour-là, elle avait été magnifique mais je ne savais pas si on y allait réellement ensemble ou alors simplement en amis. Oui, j’étais assez nul pour faire la cour à une femme, l’inviter à un restaurant ou même l’inviter tout court, j’avais mis deux heures de préparation en plus de trois heures de récitation pour un discours afin de ne rien oublier et finalement j’y étais parvenu. Mais cette femme m’intriguait, elle faisait ressortir les meilleurs côtés de ma vie, oubliant les mauvais. Elle me rendait meilleur et plus fort, je ne savais pas réellement si ce sentiment était réciproque alors que je décidais comme à chaque fois de parler à Roxy. J’en avais besoin, elle le savait, elle le voyait, quelle petite peste celle-là. Néanmoins, je savais qu’elle m’aidait et elle le faisait. Elle me fit comprendre que j’étais tombé à amoureuse, mais en même Roxanne était parfaite, souriante, belle, amusante et totalement naturelle et si elle ne voulait pas d’un homme comme moi ? D’un militaire qui a vécu six ans non-stop pour essayer de devenir meilleur chaque jour mais cela ne marche pas souvent, la preuve. Néanmoins, je ne perds pas espoir qu’un jour, j’y arriverai .. A devenir quelqu’un de parfait pour elle et pour le monde entier ..