Il se tourne. Il se tourne et mon cœur rate un battement. C’est fou, je ne sais même plus pourquoi je suis là, devant lui. J’en oublie mes mots, quand je vois son regard, quand je vois sa mâchoire carrée et ses yeux clairs qui m’observent. Quand j’entends sa voix, un frisson me parcoure de la tête aux pieds. Je me retrouve comme une idiote, entourée de cette foule euphorique. Je regarde mes pieds, sans pouvoir affronter son regard une seconde de plus. Parce que c’est ma faute si je ne peux pas lui sauter dessus pour l’embrasser, si malgré l’envie que j’en ai, je ne peux pas le serrer dans mes bras, en lui murmurant à quel point je suis ravie qu’il soit là, vivant, en face de moi. Tu me manques, c’est ce que j’ai envie de lui dire. Mais il ne comprendrait pas, il ne comprendrait pas, puisque j’ai mis fin à notre relation de la manière la plus lâche qu’il soit. J’essaie de sourire, mais c’est comme si les muscles de ma mâchoires restent bloqués. Je relève mes yeux noisettes vers lui, ce sourire fébrile et tremblant posté sur le bout des lèvres. Je passe une main tremblante dans mes cheveux. « Tu as l’air … en forme. » Je mords ma langue. Mais quelle idiote, ce n’est absolument pas ce que je voulais dire ! Je ferme les yeux et recule d’un pas, soudainement mal à l’aise. Mon cœur bat si fort, que j’ai l’impression qu’il a envie de s’échapper. Et Diego qui me regarde, ça me fends le cœur. J’ai envie de pleurer, mais je me suis promis que je ne pleurerai pas. Alors je rouvre les yeux. « Euh, ce n’était pas ce que je voulais dire … » Je me sens bête.

Je regarde ses lèvres, celles que j’ai tant embrassées. Je regarde ses yeux, ceux que j’ai tant aimés. Pourquoi est-ce que j’ai fais ça déjà ? Ah oui. Mon père. Mon discours s’est envolé, il est partit en fumée. Je ne sais absolument plus ce que je devais lui dire, ce que je devais faire, là, maintenant, tout de suite. « Je suis désolée. » Je peux être désolée pour pleins de choses. Pour cette rencontre foireuse, pour cette rupture désastreuse, pour les miettes de notre amour. Je soupire, et un rire nerveux s’échappe de ma gorge. « Excuse-moi, je devais te dire tant de choses et … rien ne vient. » Ce n’est pas drôle. Et je le sais, puisque quand je ris, mes yeux s’emplissent de larmes, j’ai une boule dans la gorge et un poids sur l’estomac. « Je suis heureuse que tu sois en vie. » Mes mains tremblent de plus belle et je sens que je ne vais pas pouvoir lutter contre ces larmes qui viennent me narguer. Je ferme très fort les yeux pour les chasser, mais elles ne partent pas, bien au contraire. Je mords ma langue. Une larme fugace s’échappe sur ma joue, ma main stoppe sa course en l’essuyant à toute vitesse. « Si tu accepte de m’écouter … juste quelques minutes … je … » Je quoi ? Je cesserai de pleurer comme une enfant ? Je ne lui demande pas de me pardonner, puisque ce que j’ai fais est impardonnable. Mais j’aimerais qu’il sache que je ne l’ai pas fait par plaisir. Mais par amour. Par amour pour lui.

Aujourd'hui je rentrais enfin chez moi après un an de mission en Moyen Orient loins de mes proches, loin de mes amis et surtout loin d'elle même si sa fessait un ans que nous avions rompue et malgré que j'étais loin de ma ville natale, elle était toujours aussi présent dans ma tête et dans mon coeur mais je lui en voulait de m'avoir brisé mon coeur et t’avoir brisé notre rêve a tout les deux jamais j'aurais pensais qu'elle me quitterais pour un autre je pensais que nous étions amoureux et surtout heureux tout les deux mais bon sa fessait partie du passé maintenant aujourd'hui j'avais avancer bien sur je n'avais pas rencontrais d'autre femmes avec mon métier je n'avais pas le temps et puis j'avais encore Ellya dans la peau je préférer rester seul et me concentrais sur mes missions en Irak.

J'étais a présent dans l'avion je regarder par la petite fenêtre j'avais hâte t'arriver pour revoir ma famille enfin ma mère mon frère et ma soeur jumelle quand a mon père que je l'avais vu toute la semaine en Irak il était arriver une semaine avant que je parte pour rentré a la maison son unité prenais le relais, il était vraiment soulager de me voir en pleine forme même si j'avais quelque égratignure un peut sur le visage et une cicatrice sur mon épaule droite sa fessait partie du risque de mon métier et surtout il était très fier de moi en de savoir que j'avais gérer mes missions. Le pilote nous annonça alors que il allez atterrir et qu'ont devais tous attacher nos ceinture, j'attache donc ma ceinture content de rentré chez moi.

L'avion venez tout juste d'atterrir je détache ma ceinture puis lève de mon siège et prend mon sac de voyage dans la petite cabine qui avait au dessus des sièges et puis met mon sac sur mes épaules et sortie de l'avion, un pied parterre je m'arrête un instant et regarde autour de moi sa n'a pas changer un sourire au lèvre je m'avance vers la porte débarquement pour rentré a l'intérieur de l'aéroport retrouver ma famille qui était s'en doute impatiente de me voir surtout que sa fait un ans que nous somme pas vu. J'étais a présent a l'intérieur de l’aéroport j’avançais doucement vu que je pouvais pas avancer plus vite vu le monde qui y avait devant moi certaine personne c'était arrêter sur leur chemin pour enlacer leur famille quand a moi je m’effraie un petit chemin pour pourvoir passer pour allez vers ma famille et lorsque je vois leur visage un grand sourire s’illumine sur mon visage mais aussi sur leur visages. Alors que j'allez pour rejoindre ma famille une voix que j'aurais pu reconnaître n'importe d'ou me fit retourner. Ellya...Dit je en regardent la jeune femme qui était autour d'une foule .

Il se tourne. Il se tourne et mon cœur rate un battement. C’est fou, je ne sais même plus pourquoi je suis là, devant lui. J’en oublie mes mots, quand je vois son regard, quand je vois sa mâchoire carrée et ses yeux clairs qui m’observent. Quand j’entends sa voix, un frisson me parcoure de la tête aux pieds. Je me retrouve comme une idiote, entourée de cette foule euphorique. Je regarde mes pieds, sans pouvoir affronter son regard une seconde de plus. Parce que c’est ma faute si je ne peux pas lui sauter dessus pour l’embrasser, si malgré l’envie que j’en ai, je ne peux pas le serrer dans mes bras, en lui murmurant à quel point je suis ravie qu’il soit là, vivant, en face de moi. Tu me manques, c’est ce que j’ai envie de lui dire. Mais il ne comprendrait pas, il ne comprendrait pas, puisque j’ai mis fin à notre relation de la manière la plus lâche qu’il soit. J’essaie de sourire, mais c’est comme si les muscles de ma mâchoires restent bloqués. Je relève mes yeux noisettes vers lui, ce sourire fébrile et tremblant posté sur le bout des lèvres. Je passe une main tremblante dans mes cheveux. « Tu as l’air … en forme. » Je mords ma langue. Mais quelle idiote, ce n’est absolument pas ce que je voulais dire ! Je ferme les yeux et recule d’un pas, soudainement mal à l’aise. Mon cœur bat si fort, que j’ai l’impression qu’il a envie de s’échapper. Et Diego qui me regarde, ça me fends le cœur. J’ai envie de pleurer, mais je me suis promis que je ne pleurerai pas. Alors je rouvre les yeux. « Euh, ce n’était pas ce que je voulais dire … » Je me sens bête.

Je regarde ses lèvres, celles que j’ai tant embrassées. Je regarde ses yeux, ceux que j’ai tant aimés. Pourquoi est-ce que j’ai fais ça déjà ? Ah oui. Mon père. Mon discours s’est envolé, il est partit en fumée. Je ne sais absolument plus ce que je devais lui dire, ce que je devais faire, là, maintenant, tout de suite. « Je suis désolée. » Je peux être désolée pour pleins de choses. Pour cette rencontre foireuse, pour cette rupture désastreuse, pour les miettes de notre amour. Je soupire, et un rire nerveux s’échappe de ma gorge. « Excuse-moi, je devais te dire tant de choses et … rien ne vient. » Ce n’est pas drôle. Et je le sais, puisque quand je ris, mes yeux s’emplissent de larmes, j’ai une boule dans la gorge et un poids sur l’estomac. « Je suis heureuse que tu sois en vie. » Mes mains tremblent de plus belle et je sens que je ne vais pas pouvoir lutter contre ces larmes qui viennent me narguer. Je ferme très fort les yeux pour les chasser, mais elles ne partent pas, bien au contraire. Je mords ma langue. Une larme fugace s’échappe sur ma joue, ma main stoppe sa course en l’essuyant à toute vitesse. « Si tu accepte de m’écouter … juste quelques minutes … je … » Je quoi ? Je cesserai de pleurer comme une enfant ? Je ne lui demande pas de me pardonner, puisque ce que j’ai fais est impardonnable. Mais j’aimerais qu’il sache que je ne l’ai pas fait par plaisir. Mais par amour. Par amour pour lui.

J'étais enfin rentré a la maison, j'étais enfin chez moi ques sa fait du bien de revoir ma ville natal depuis un ans je l'avais pas vu depuis un ans que j'avais revu ma famille sauf mon père normal il était aussi dans l'armée et puis sa fessait un ans aussi que j'avais revu mes amis et une personne en particulier. J'étais donc a l'intérieur de l’aéroport je m’apprêter a rejoindre ma mère mon frère et ma soeur jumelle qui m'attendais lorsque j'avais entendu cet voix que j'aurais reconnu n'importe ou. Elle était la le jour de mon retour au pays elle était la j'aurais jamais pensais qu'elle serait ici et qu'elle serait avec son petit ami celui pour qu'elle ma laissez pour qui elle a brisé notre histoire. J'hésité un petit moment avant de me retourné mais c'était plus fort que moi je me retourné vers elle et la regarder elle était toujours aussi belle mais en même temps quand je la regarder je lui en lui en voulait de m'avoir fait du mal t'avoir arrêter notre histoire mais pourtant au fond de moi je l'aime toujours autant. Je rester a ma place sans bouger pour être honnête je savais pas quoi faire soit rester la a l'écouter ou alors partir rejoindre ma famille mais mon corps avait décider de rester planté la et de l'écouter ce qu'elle a me dire. Toi aussi tu l'es. Lui répondit je avec un petite voix je rester tout même méfiant elle a comme même brisé mon coeur. Puis je la regarder entrain de bafouiller j'avais l'impression de voir une petite fille perdu et qu'elle savais plus quoi faire a ce moment la je me surpris de vouloir la prendre dans mes bras et de la rassuré mais je ne fit rien j'avais comme même ma fierté.

Je la regardé toujours c'est comme si mes yeux ne voulais pas ce détacher de son regard, ses yeux noisette qui me font craquer a chaque fois que je la regarde et ses lèvres que j'ai tant embrassez et qui me manque je doit l'avouer tout me manquer chez elle mais aujourd'hui elle m'appartenez plus elle appartenez a un autre que moi. Je baisse donc les yeux quand elle dit désoler mais désoler pourquoi ? de m'avoir brisé en mille morceau, désoler tu faite que j'ai mit plusieurs mois a l'oublier a moitié, désoler t'avoir brisé notre histoire ? tant de questions ce bouscule dans ma tête. Ce n'es rien Ellya. Répondit je a nouveau en faite je n'étais pas trop bavard lorsque j'étais en face d'elle. c]]J'ai fait attention a pas me faire tuer.[/b] Lui dit répondit je avec un petit sourire au lèvre. Sa me fessait mal de la voir pleuré je doit l'avouer je vais pas mentir en disant que sa me fessait rien en la voyant comme ça. Ecoute Ellya ma famille m'attend, Attend une minute je vais leur dire bonjour et je leur dit que je les rejoins après on ira boire un café. Lui répondit je en la regardent je voyais qu'elle était mal et j'étais mal de la laissez comme ça et puis j'étais curieux de savoir ce qu'elle voulais me dire je voulais juste l'écoute et rien d'autre après chacun partira de son coter.

En face de lui, j’ai l’impression d’être une petite fille à qui on a enlevé tout ce qui lui restait. Il m’écoute, sans me repousser pour l’instant. Et même si je me suis promis de ne pas pleurer, mes larmes n’en font qu’à leur tête et coulent, coulent sans s’arrêter le long de mes joues. Pourtant, ma main les essuie chaque fois qu’elles commencent une nouvelle course, mais rien n’y fait, elles redoublent d’effort pour couler encore plus vite. Alors j’abandonne, je les laisse couler, je les laisse faire couler mon maquillage sur mes joues, je le laisse me donner un aspect épouvantable. Diego accepte de m’écouter et il me propose même qu’on discute autour d’un café. Comme des connaissances. Ça me serre le cœur, mais je hoche la tête, essayant d’arborer un petit sourire qui se veut naturel, et pas crispé comme tous les autres. Je l’attends en retrait, tandis qu’il salue sa famille. Moi aussi, j’aimerais le serrer très fort dans mes bras, lui souffler à l’oreille combien j’ai eu peur qu’il se fasse tuer sur cette foutue mission, lui dire que je ne veux rien, rien d’autre que l’aimer, comme je le fais depuis toujours. Lorsqu’il revient, la plupart des personnes ont déjà quittés l’aéroport, trop ravies de revoir le soldat tant attendu et de partager des choses avec lui, avant que la guerre ne revienne le chercher. J’ai réussi à me calmer, le temps que Diego parle avec sa famille, j’ai réussi à cesser mes larmes. Quand il revient, je joue avec une mèche de cheveux, mal à l’aise. J’ai l’impression d’aller boire un verre avec un inconnu et ça me bouffe. « Tu veux aller où ? » je mets une main dans la poche arrière de mon jean, l’autre jouant toujours avec cette foutue mèche de cheveux.

Même si je le cacher sa me fessais mal de la voir pleurer comme ça j'aurais aimer la prendre dans mes bras et lui caressez les cheveux et lui murmurai à l'oreille " ça va allez je suis la". Mais je fit rien je rester tout simplement a ma place et puis c'est elle qui avait mit a terme a notre histoire c'était plus a moi de la réconforter mais son nouveau petit ami celui pour elle m'avais quitter et rompu nos fiançailles. Pourtant j'avais accepter de boire un café avec elle parce tout simplement j'avais accepter de l'écouter alors que ma famille m'attendez surtout que j'avais vu que ma mère commencer à paniquer en me voyant pas. J'avais alors prévenu Ellya que j'allez faire un coucou a ma famille parce que j'avais envie de les voir et eux aussi ils avait envie de me voir sa fait comme même un ans qu'ils m'ont pas vu et que ensuite nous irions boire ce café. Je partie donc vers ma famille je prend directement ma mère dans mes bras qui pleurer de joie de me voir en vie et en forme puis ma soeur et mon frère vient nous rejoindre pour un calin grouper. J'informa alors ma famille que je les rejoindrais plus tard a la maison que j'allez boire un café avec Ellya ce qui n'était pas au gout de Brennan qui regarder Ellya méchamment je pose donc une main sur l'épaule de mon frère en lui disant que tout allez bien et qu'il n'avais pas a s’inquiéter puis ma mère me demanda d'être prudent et que je revienne pas encore une fois anéantie comme la fois ou j'avais reçu la lettre de rupture, je fait la promesse a ma mère que je serait sur mes garde et que je ferrait attention puis après les avoir saluer je part rejoindre Ellya qui jouer avec l'une des mèche de ses cheveux quand elle fait ça sa veut dire qu'elle es nerveuse. Y a un petit café pas loin de l’aéroport on pourrait allez la bas. Répondit je a sa question tout en mettent les mains dans les poche de mon pantalon.

Nous étions arriver dans ce petit café et y avait pas grande monde un couple de vieux qui visiblement s'aimer comme au premier jours puis un serveur qui ce tenez au bar et sans nous oublier bien sur. On s'installez a une table, une fois installez je croise mes doigts ensemble puis le serveur arriva aussitôt pour nous prendre notre commande. La serveur partie pour allez chercher notre commande et c'est a ce moment la que Ellya décide de reprendre la parole. Je foncer les sourcils lorsqu'elle commencer son récit et je doit avouer qu'elle me perdez dans ses paroles ou voulait t'elle en venir. c]]Ecoute Ellya je peut pas te pardonner ce que tu a fait tu m'as fait beaucoup de mal met a ma place de seconde. [/b]Lui dit je lorsqu'elle m'avais avouer qu'elle j'espère que je lui pardonnerait. Je reculer ma tête et ouvre un peut la bouche abasourdie de ce que je venez d'apprendre alors la lettre du rupture , l'histoire de copain rencontré lord des vacances tout ça était faux ou elle essayer juste de m'avoir pour que je lui pardonne vu qu'elle c'est rendu compte qu'elle avait fait une conneries en me quittant. c]]J'en reviens pas tu te sait de ton père tu n'assume pas de m'avoir pour un pauvre con qui surement ne te satisfait pas pour que tu revienne vers moi, assume Ellya tout ça c'est toi qui l'a voulu je peut rien pour toi.[/b] Lui répondit je en la regardent complètement paumer mais énerver a la fois même si je rester calme j'allais pas faire une scène dans un café comme même mais ce qui m'étonnais le plus c'est le faite qu'elle me dise que c'est son père qui lui avait demander de me quitter je savais que son père pouvais être la pire ordure mais faire du mal a ses enfants il le pourrais jamais faire cela surtout que ses enfants était tout pour lui.

Sa première réplique me glace le sang, mais je m’y attendais. Oui, je savais que me pardonner ne serait pas facile, alors je baisse les yeux, sur le liquide noir et fumant que le serveur vient tout juste de poser devant moi. J’enchaîne, je lui avoue. Tout, absolument tout : mon père, la lettre et les évènements montés de toutes pièces. Et là, sa réponse me … m’écrase. Non, vraiment, je ne m’attendais pas à ça. Je relève les yeux vers lui, une mine horrifiée sur le visage. Alors, j’étais devenue si horrible à ses yeux ? Ma bouche s’ouvre et se ferme, comme pour protester mais aucun son ne sort de ma gorge. Les larmes franchissent une fois encore la barrière de mes yeux et j’essaie de ne pas hurler. J’essaie, parce que j’ai envie de hurler et de fuir ce petit café. Mais je ne suis pas le genre de fille à faire des scènes dans des lieux publics. Alors je bégaie. « N-non, je … » ses paroles sont dures. Ce sont celles d’un homme blessé. Je me lève puis me rassoit. Je ne sais plus ce que je fais là, en face de lui, en face de Diego. Mon cœur me brûle, mes lèvres et mon menton tremblent. Et pourtant je n’arrive pas à soutenir le regard accusateur qu’il me jette. Je n’arrive pas à nier ses propos, je n’arrive pas à me faire entendre. J’avale difficilement ma salive, je tapote ma tasse de café. « Alors … je suis descendue aussi bas dans ton estime ? » je ne m’attendais pas à autre chose de toute manière.

Après avoir échanger quelque bref parole à l'aéroport nous étions a présent tout les deux dans un petit café ou y avait pas grande monde juste un couple de personne âgé qui visiblement s'aimer comme au premier jour et le barman qui tenez le bar tout seul visiblement aujourd'hui en gros y avait pas foule dans ce café et pour être honnête c'était agréable d’être au calme mais le calme n'allais pas duré très longtemps puisque avec Ellya nous commencions a nous disputez j'aurais aimer de tout mon coeur croire ce qu'elle me disait mais ma tête me disais de ne pas la croire qu'elle me mentez pour m'avoir encore une fois et une oui j'écouter ma tête au lieu de mon coeur qui saigner encore de cette rupture mais pourtant mon coeur encore plus fort pour elle mais j'étais bien trop fier pour l'admettre elle m'avais mit KO avec cette lettre rupture donc c'était normal que je reste tout même méfiant vis a vis d'elle lorsqu'elle me disait que tout ça c'était un coup monté par son père vu qu'il lui avait demander me quitter sinon il allez s'en prendre a ma famille et a moi même. Avec cette lettre tu as brisé notre promesse d’être toujours ensemble Ellya. Lui dit je en la regardent dans les yeux dans mon regard sa ce voyais que je souffrais encore de notre rupture malgré que sa fessait un ans que notre histoire était terminé.  

Je comprenez absolument pas pourquoi elle jeter toute la faute sur son père je croyais que son père était tout pour elle surtout qu'elle n'avais maintenant plus que son frère et lui elle avait perdu sa mère dans un accident de voiture et puis vu le complicité qu’elle avait avec son père sa m'avais comme même étonné qu'elle me parle de son père ainsi mais j'aurais pu la croire sur ça surtout que son père m'avais fait des millier de menace pour que je quitte sa fille mais je l'avais jamais pris au sérieux et j'avais continuer mon histoire avec sa fille. Je rester bouche bée lorsque Ellya commencer à s’énerver et à criée dans tout le café le couple de personnes âgé et le barman nous regarder comme si on animé le café enfin c'est vrai qu'ont animé le café vu que c'était bien calme avant. Je baisse les yeux je me sentez d'un coup coupable de lui faire du mal comme ça alors que c'est elle qui m'avais fait du mal j'étais entrain de faire du mal a la femme que j'aime mais c'était plus fort que moi je pouvais lui mentir je pouvais faire semblent que tout va bien alors que ce n'es pas le cas. Je la regarder tout simplement me crié dessus parce que j'étais simplement incapable de décrocher un mot et puis je fermer a nouveau les yeux lorsque j'avais entendu je t'aime de sa bouche puis lorsque j'avais a nouveau ouvert les yeux elle n'étais plus devant moi je me lève d'un coup paniquer de plus la voir dans mon champs de vision seule les regarde des deux personnes âgé me regarder comme si j'étais en tors dans cette histoire. Je commencer donc a quitter le café mal a l'aise de cette situation lorsque même si elle était loin de moi je l'entendais pleurer en effet lors d'une mission y a six mois en Irak j'avais eu un accident et je m'étais réveiller a l’hôpital et j'avais alors remarquer que mon ouïs était sur développé je pouvais entendre des conversation assez loin et c'est grâce a ce don que j'avais réussi a déjouer l’assassinat d'un ministre en Irak mais ce n'était pas le moment ce pensais ça ma seule préoccupation était Ellya fallait je la retrouve je pouvais pas laissez comme ça l'(entendre pleurer me brisé le coeur encore plus qui ne l'était déjà. Au bout de dix minute de recherche je l'avais retrouver dans le coin d'une rue son visage entre les mains je m'arrêta quelque seconde entrain de la regarder pleurer je pousse un soupire pour m'aider a ne pas pleurer j'étais un mec je devais pas pleurer un mec sa pleurer pas j'avais comme même ma fierté, je me décide donc a m'approcher d'elle je passe mes bras autour d'elle et pose mon menton sur son épaule et lui murmure a l'oreille. Je suis désoler de t'avoir agressez comme ça. Lui dit je doucement dans son oreille.