Je me présente Eternel Altaïr Lavann. Je suis né le19/03/1987 à Chicago, ce qui me fait 28 ans et promis, j'ai toutes mes dents ! Je suis en ville depuis quelques mois. Pour moi, les plus sexy sont les femmes et je suis actuellement célibataire. Je suis photographe et j'aime ce que je fais. Oh je vous ai pas dit... j'ai aucun don particulier... Niveau caractère, on dit de moi que je suis charmant, attentionné, adorable mais également têtu, sarcastique ainsi que cynique. On me dit souvent que je ressemble à Patrick Stump mais en plus canon évidement. Et dernière petite info', j'appartiens au groupe I'll be there for you et je suis un personnage inventé
 

Bonjour ! Oui comme tout le monde j'ai une famille, mais il m'est bien compliqué d'en parler. Disons qu'avant j'étais comme... Différent ? Oui ce doit être le bon mot. Je haïssais ma famille, et pas qu'elle au passage. Mais c'est pas leur faute, je m'en rends compte que depuis quelques années seulement, mais c'était moi. J'avais un caractère monstrueux, je leur disais des choses pas possible... Tout ceci pour dire que mes relations avec ma famille était peu louables, ils avaient toutes les raisons du monde de vouloir se débarrasser de moi. C'était une famille unie pourtant, j'avais une sœur et une frère et deux parents. Je le regrette aujourd'hui mais je pense qu'il est temps de l'avouer: ma famille je l'ai quittée, y'a longtemps.
J'ai été radical, j'ai changé de nom, de ville. Mais aujourd'hui je serai prêt à tout pour les retrouver, leur présenter mes excuses, et voir ce qu'ils sont devenu. En bref ? Je cherche ma famille, parce que maintenant je me rends compte que je l'aime.
 

Alors alors... Les souvenirs que j'ai de mon enfance sont assez flous pardonnez moi. Oui j'ai eue une belle enfance, mes parents étaient géniaux et mes frangins aussi. Je m'intégrais plutôt bien jusqu'à la mi-primaire. Je ne sais pas vraiment comme expliquer ça, du jour au lendemain je suis devenu désagréable, abject, violent et vraiment insupportable. Bien sûr il y a une raison à ceci, niveau scolarité j'avais beaucoup de problème avec les maths. Crise de panique etc, et comme j'avais une certaine fierté... Disons que me frustration grandissait de jour en jour, et que ça avait un grand impact sur mon entourage. Au fur et à mesure que je m'enfonçais inconsciemment dans cette 'psychose' (parce que oui, avant et aujourd'hui encore, je ne parviens pas à réaliser que c'est simplement des problèmes sans importances), je m'éloignais des autres à vue d’œil, et tout ceci m'avais entraîné sur des terrains pas recommandés.
 

Le grand amour ? Ahah bien sûr que j'y crois ! Mais je pense pas que c'est pour moi. Durant mes anciennes aventures (oui parce que faut appeler ça comme ça), on peu dire que ça durais pas longtemps. Les rares fois où je changeais des habitudes "d'un soir" et que je me trouvais une copine... Fallait toujours que je fasse le con. Je l'avoue ici et maintenant, j'étais ce que la plupart des filles qualifierait de 'connard', 'enfoiré', 'salopard' (rayez les mentions inutiles). Alors non, je n'ais jamais été amoureux. Même maintenant, après un changement radical de personnalité, je pense toujours que c'est quelque chose que je ne connaîtrais pas. Pas pour les mêmes raisons non, (heureusement non), avant je pensais ceci parce que je préférais de loin les rapides plaisirs charnels à se conforter d'une fille avec qui fallait se plier en quatre... Maintenant c'est simplement parce que j'étais vraiment un beau connard avant, et que j'ai peur que ça recommence aussi vite que c'est partit.  

Pour faire court, aux études j'étais plutôt doué. En arts, en musique, en langue, en biologie... J'aimais exceller. Sauf que j'ai vite découvert que j'avais des problèmes avec les chiffres, ce serai passé crème si je n'avais pas été aussi... Mais voilà, c'était moi, et j'étais obligé d'aggraver mon cas. Depuis ça, non seulement ma personnalité avait changée radicalement, mais à l'école je n'avais plus aucune motivation, puis avant la véritable chute, j'ai finis par fournir le minimum. Mes professeurs n'avais rien compris, mais c'était le dernier de mes problèmes. Toujours est t-il que je m'intéressais que peu, mais sans vous cacher que de mon côté, je me passionnais pour les arts et autres qui me permettaient de mettre de côté mes échecs scolaires.

Moi désormais, je suis photographe, depuis l'instant où j'ai pu avoir mon premier appareil photo. N'ayant pas l'argent ni vraiment le caractère pour faire des études, j'ai appris à mes dépens. Le sens du cadre, des couleurs, de l'harmonie m'est venu très rapidement, et depuis je réussis plutôt bien. Assez pour gagner correctement ma vie. Il m'arrive rarement de photographier des portraits, je suis plus pour les paysages ou les animaux. Il y a une raison à ceci: lorsque je photographie quelqu'un, j'ai l'impression de le figer dans une image. C'est peut être simplement moi, mais ça me rend mal à l'aise.

 
Je suis né le 29 mars 1987 dans l'agglomération de Chicago. Le peu de souvenirs que j'ai de ma famille me sont plutôt confus. D'un côté je les voyais comme des idiots qui ne comprenais rien à rien, que je détestais de toute mon âme, et d'un autre, en prenant de la distance, je les vois comme des personnes infiniment aimantes, autour de moi. Moi qui était en fait le problème, ça vous le comprendrez bien assez vite.
Alors voilà ça s'est passé très vite, tout c'est dégradé presque aussi rapidement qu'un tsunami, et ça a très mal terminé. Tout ça pourquoi ? On va dire que ça commencé à cause des études. J'avais des facilités, ça personne ne va en douter, même beaucoup. Seulement voilà, quand on a ces 'pré-dispositions', on a aussi en cadeau beaucoup d'attentes et pression venant de la part du 'monde', et rapidement notre plus grande peur est de décevoir, de chuter, de tomber du piédestal sur lequel on vous à fait monter. Tout ça c'est simplement ma faute, juste moi et ce qu'il se passait dans ma tête, c'est pour ça qu'il est encore plus difficile de me croire quand je dis que je n'avais jamais voulu tout ça. Bon alors... Vers le début de la secondaire ? J'ai commencé à paniquer. C'était que des chiffres, mais plus je les fixais, plus je tentais de les percer, plus je paniquais. Dans cette situation là, je ne pouvais faire que ça. Si j'avais put garder la tête froide, peut être que j'aurai réussis à éviter la catastrophe, mais on ne peut pas remonter le temps. Ces moment là, où j'étais devant des nombres, des calculs, étaient pires que des cauchemars. C'est difficile à expliquer... J'étais jeune, trois ans de moins que le reste de ma classe, et pourtant je m'intégrais plutôt bien, mais le jour où j'ai commencé à angoisser pour des chiffres, j'ai vu que tout ça c'était ternit. Je ne savais pas comment réagir, d'un côté mes crises de panique se faisaient de plus en plus violente et me plongeaient encore plus dans cette sensation d'échec, d'un autre je sentais que je commençais à décevoir tout le monde. L'avenir brillant qu'on avait tracé pour moi s'éloignait chaque jour, 'tu sera médecin' 'tu sera avocat', je me rends compte qu'on choisissait tout à me place, et que moi j'acceptais ça. Je n'avais jamais cherché ce qui m'intéressait le plus, ce qui comptait pour moi, c'était de faire plaisir à tout ceux qui voulaient que je devienne ci ou ça, juste pour continuer à voir ces sourires et ces regard de fierté de la part de mes professeurs et de mes parents je crois que j'aurais accepté n'importe quoi. Mais avant que je ne réalise cette triste réalité, le piège s'était déjà refermé. Parce mes difficultés grandissantes en mathématiques révélaient comme le feu révèle la plupart des messages secrets cachés dans les lettres, que je pourrais bientôt plus suivre et répondre à ces attentes. Je pense que c'est ça qui m'a renfermé, puis quand le verdict est tombé, j'ai vraiment tout laissé tombé. J'ai sûrement des troubles de dyscalculie ou je suis 'arithmophobique'. Dit comme ça c'est drôle, mais en vérité beaucoup moins. En ce moment, dans ma tête ça partait dans tout les sens. Je comprenais que de travers ce que ça voulais dire. Si ma famille elle, avait été toujours là pour moi et ne m'a jamais vu différent, ça ne m'a pas empêché de sombrer.  

L'année d'après on a pu observer les ravages qu'avait provoqué ce 'verdict'. J'avais déçu tout le monde, ça j'en était sûr. Alors je ne m'accrochais plus à rien, mais en plus de ça, je m'enfonçais dans cette noirceur et cette négativité. En un an toute ma personnalité avait changée. Je ne parlais presque jamais, je n'avais plus aucune morale, je devenais de plus en plus violent... J'ai commencé à fréquenter des gens pas recommandables, à boire, à me droguer, et coucher avec n'importe qui. En fait, je pense que ça m'a tué de voir qu'a cause d'une peur des chiffres, ou d'une maladie, je venais de tomber dans la disgrâce de mon école. La "déchéance de l'intello", je vous promet que ça me rendais cinglé d'en entendre parler tout les jours, et encore plus barge lorsque quelqu'un osait venir me proposer son aide.
Ma famille notamment, ces personnes que je haïssais le plus à ce moment là. C'était la faute à personne, ce qui me donnait encore plus de haine et de rancœur. Ils avaient toujours été là pour moi mais... illogiquement je les détestaient justement pour ça. Tout ces échecs que je cumulais à la pelle, ça m'aurait faire tellement plaisir qu'il me laisse vraiment sombrer pour de bon tranquillement. Mais non, en véritable famille, malgré l'enfer que je devais leur faire vivre, ils sont restés là à tenter de me remonter coûte que coûte. J'ai vraiment été atroce avec eux, et c'est que maintenant que je m'en rends compte.
J'en avais assez, alors je suis partit. Comme ça, j'avais 22 ans, donc légalement on ne pouvais pas m'en empêcher. Puis on vas remarquer le paquet de haine que j'avais sur le coeur à leur égard, je ne voulais plus rien à voir avec eux. Comme si c'était les responsables. Alors j'ai changé de nom, et viré tout ce qui me rapprochait à eux. Mais voilà, aujourd'hui je me rends compte que je n'aurai pas du. Parce que maintenant je suis vraiment perdu.
Je suis à Berlington, l'accident de la bombe ? Oui j'y étais. Il m'a fait perdre la mémoire. Une véritable remise à zéro. J'ai oublié toute la rage que j'avais mais j'ai aussi oublié mon véritable nom de famille. C'est accident m'a permis de changer de façon de vivre, moi, le premier enfoiré de service (allez y, je le mérite) je suis devenu l'extrême inverse de ce que j'étais. Si je suis en mesure de vous raconter tout ça, c'est parce que je l'avais écris avant. Malheureusement je n'en sais pas plus, ma vie après ce départ est un véritable trou noir. Je ne sais pas comment j'ai atterri à Burlington, pourquoi j'y étais venu. On m'as dit que j'étais photographe alors ça doit être vrai. Ma mémoire revient progressivement mais trop lentement. C'est frustrant, comprenez-vous ? De croiser une personne de cette ville, sans savoir si tu l'a connais, sans savoir quel genre de mal, toi l'ancien mec véritablement mauvais, tu as pu lui faire.