Sujet: Anna _ Ecrire c'est une manière de vivre Sam 21 Mai - 14:17
Anna Carter
Je me présente Anna Carter. Je suis née le 26/04/1982 à Burlington, ce qui me fait 34 ans et promis, j'ai toutes mes dents ! Je suis en ville depuis ma naissance. Pour moi, les plus sexy sont les hommes sans aucun doute et je suis actuellement célibataire, du moins je le pense. Je suis professeur de littéraire et auteure et j'aime ce que je fais. Oh je vous ai pas dit... je n'est pas de don. Niveau caractère, on dit de moi que je suis honnête, persévérante, optimiste mais également méfiante, jalouse ainsi que impatiente. On me dit souvent que je ressemble à Jennifer Morrison mais en plus canon évidement. Et dernière petite info', j'appartiens au groupe That's What Makes the World Go Round et je suis un personnage inventé.
ta plus grande vie, ton chef d'oeuvre
13 novembre 2005 J’avance dans la nef centrale de l’église sans trop savoir comment. Mes jambes semblent bouger toutes seules, indépendamment de ma volonté. Mon esprit embrumé est à cent lieues de l’instant présent, je suis une parfaite étrangère dans le corps d’une autre. Néanmoins, j’arrive à tourner la tête vers ma sœur, qui s’accroche à mon bras, le visage ruisselant de larmes. Je l’envierai presque, car, elle, au moins pleure. Je n’arrive pas à sortir une seule larme depuis quatre jours et je me déteste rien que pour cela. J’ai l’impression de voir les gens me dévisager, se demander comment, après un tel évènement, je peux rester de marbre. Certains disent que les gens sont faibles lorsqu’ils pleurent, ce n’est pas ce que je pense. Je n’arrive seulement pas à pleurer la mort de maman. Chacun gère les évènements tragiques à sa façon, voici la mienne. Ma gorge se serre tout de même lorsque j’aperçois mon meilleur ami, attendant la sortie du cercueil en dehors de l’église. Je lâche alors ma petite sœur et me précipite vers lui, le prenant dans mes bras. Je le vois bouleversé, les yeux rouges de larmes. Un immense sourire plein d’empathie s’installe sur mes lèvres tandis que je le serre dans mes bras. « Anna, ce n’est pas ton rôle de réconforter les autres aujourd’hui… » me souffle alors Sam. Je me dégage lentement de l’étreinte, ne pouvant répondre à ces paroles avec lesquelles j’étais d’accord. Depuis quatre jours, la famille de papa était à la maison, restait auprès de nous afin de nous soutenir au mieux. Bizarrement, je n’ai pensé avoir besoin de soutien, au contraire, j’aimais rassurer ma tante, pleurant dans mes bras. Je m’occupais de faire à manger, je nettoyais, briquais, je passais le temps. Les nerfs allaient finir par lâcher un jour ou l’autre et je ne souhaitais presque pas que cela arrive, j’étais au mieux de ma forme. Soudainement, un sentiment de honte s’insinua en moi lorsque je rejoignais ma petite sœur près du cercueil. Et si je ne réagissais pas comme il le fallait ? Mon regard croise alors celui de papa qui est dans le même état que moi. Lui a déjà commencé son deuil depuis trois ans, depuis l’annonce du cancer de maman. Il savait que la chance n’était jamais de notre côté, il s’était donc préparé et avait beaucoup parlé avec maman. Je lui en veux pour cela, mais je ne peux qu’être fier de lui, de nous. Mais mon cœur se serre lorsque je vois la famille déposer une rose rouge sur le cercueil, cette fois c’était la fin. Quel que soit l’âge, je crois qu’on n’est jamais préparé à la mort d’une mère.
25 décembre 2014 Les rires fusaient dans la maison familiale, l'esprit de Noël était vraiment au rendez-vous et je me sentais, pour la première fois depuis longtemps, entière. La seule ombre au tableau, c'était ma petite sœur, Olivia, absente pour les fêtes de fin d'année. J'avais passé des heures avec elle au téléphone, mais elle n'a rien voulu savoir. Depuis que papa avait refait sa vie avec une autre femme, elle ne lui avait jamais pardonné. Bien entendu, j'étais la première à rejeter cette décision lorsqu'il nous l'a appris, mais avec le temps et avec du recul, il avait le droit, lui aussi, au bonheur. Après quelques années, je suis devenue assez proches des deux enfants de ma belle-mère qui sont du même âge que ma sœur et moi et nous formons désormais une famille presque recomposée. Presque, car Olivia n'a pas remis les pieds à la maison depuis cinq ans. Je surveillais mon téléphone, j'espérais au moins un message de sa part pour ce soir de Réveillon. Un éclat de rire retint soudain mon attention. Sam pleurait littéralement de rire ce qui me surprit et me fit rire à mon tour. Il avait bien besoin de cela après tout, lui qui était en permission pour cette période de Noël. Il avait accepté de passer les fêtes avec nous, car ses parents avaient décidé de faire le tour du Monde quelques mois auparavant. Papa avait toujours apprécié Sam qui avait toujours été là pour moi et ce depuis toujours en réalité. Désormais, mon meilleur ami regardait des photos de moi et Olivia lorsque nous étions toutes petites et riait aux éclats. Je ne m'en formalisais pas et profitais de sa présence auprès de moi. Dans quelques jours, il allait repartir pour l'Afghanistan pour une durée encore inconnue. Une vague de tristesse et de manque m'envahit soudain et je préférai sortir de table pour cacher mon trouble. J'allai alors sur la terrasse afin de profiter de la vue sur les maisons décorées et de la neige qui tombait doucement. Tout semblait parfait en cette veille de Noël, mais il y avait toujours un petit détail qui venait tout gâcher, comme toujours. J'entendis la porte de la véranda s'ouvrir derrière moi et je savais déjà qui venait me rejoindre. Je repris doucement contenance et me tournai vers Sam avec un sourire entendu. « Allez arrête Ann', qu'est-ce qui ne va pas ? C'est Olivia c'est ça ? » Je grimaçai, il m'agaçait à tout deviner. Enfin presque. « Sam, tu commences à me faire peur, j'ai l'impression que tu es dans ma tête ! Enfin je n’espère pas… » Il se mit à rire franchement, ne relevant pas la fin de ma phrase, ce qui me froissa au passage. En moins de deux secondes, il se tenait devant moi, relevant doucement mon visage afin que nos regards se rencontrent. « Anna, tu sais que je serai toujours près de toi-même à 10 455 kilomètres, n'est-ce-pas ? » Je répondis avec une petite moue peu convaincue et voulait me détourner, je me sentais étrangement mal à l'aise. Je me forçai à soutenir le regard, mais cela m'était de plus en plus difficile. « Tu es tout pour moi, ne me le fais pas répéter compris ? » dit-il en souriant, moi, mon cœur battait aussi vite que fort. « Compris Sergent ! » répondis-je en cachant mon air décontenancé. « Je ne sais pas encore combien de temps je serai parti, mais mon retour sera définitif, je reste à la base une fois ma mission terminée, ils me doivent bien ça. Je ne te demande pas de m’attendre mais… Anna… Ne me le fais pas répéter… » Sur ces dernières paroles, il rejoignit tout le monde à table. Etait-ce une promesse ? Décontenancée, je restais dehors à ressasser notre conversation. J’étais loin de m’imaginer à quel point son retour allait être dur.
10 avril 2016 Je courrais presque dans le couloir qui menait à l'infirmerie de la base militaire. Les parents de Sam m'avaient autorisée, exceptionnellement, à venir le voir. Voilà trois jours qu'il était rentré d'Afghanistan et on m'avait prévenu il y a seulement deux heures. La maman de Sam ne m'avait pas donné de détails, mais je la sentais bouleversée, sûrement à cause du retour de son fils. Soudain, je la trouvais, sortant d'une petite chambre individuelle. Je me mis sur la pointe des pieds pour apercevoir ne serait qu'un peu de mon meilleur ami, mais elle m'arrêta dans mon élan. C'est alors que je vis ses yeux rougis. Un mauvais pressentiment me cloua sur place. « Qu'est-ce qu'il se passe ? » demandai-je d'une petite voix. La maman de Sam croisa mon regard et elle laissa échapper un long sanglot. « Mon pauvre fils, mon petit… » Je fronçai les sourcils, je voulais comprendre. Je lui empoignai doucement le bras et l'incitai à parler. « Il ne se souvient de rien… J'ai perdu mon Sammy ». Je restai bouche bée, tandis que le père de Sam sortait de chambre pour me faire signe de le rejoindre. Brusquement, j'avais envie de m'enfuir, loin, très loin. Cela faisait presque un an et demi que j'attendais son retour pour reprendre là où l'on s'était arrêté et voilà que maintenant tout s'écroulait. La maman de Sam me poussa à l'intérieur de la chambre et je le vis. Allongé sur ce lit de draps blancs, Sam tournait la tête vers la fenêtre et semblait s'intéresser à ce qui se passait à l'extérieur. Je n’osais pas m’approcher, ma gorge se serrait désagréablement. Je toussotai alors légèrement ce qui le sortit de sa torpeur. Je vis alors son visage changer. « Ann’ ! » Je regardai la maman de mon meilleur ami, je ne comprenais plus vraiment la situation. Elle semblait aussi déboussolée que moi. Je m’approchai alors de lui, prenant sa main dans la mienne, à la recherche de son contact. Mais il dégagea sa main lentement. « Ann’, pourquoi est-ce que je suis ici ? » Apparemment il ne se souvenait pas de son statut de militaire ce qui ne me rassurait pas tellement étant donné qu’il s’était engagé dans l’armée à l’âge de 25 ans. « Quelle est la dernière chose dont tu te souviennes Sam ? » demandai-je d’une petite voix. Il réfléchit quelques instants, semblait lutter contre l’amnésie, contre une force qui le dépassait. « Je me souviens de… oui ça me revient… ta mère nous a emmené à la fête sur le campus… c’était il y a quelques jours je crois… Ouais on s’était bien marré ! » dit-il d’un air rêveur. Je me rappelais de cette soirée-là et la simple évocation de celle-ci, me faisait sentir mal. Peu de temps après ce jour-là, maman entrait à l’hôpital pour y mourir. « Anna, comment va ta mère ? » demanda-t-il alors. Je pris une inspiration et sentit une main sur mon épaule, la maman de Sam. Choquée, je compris que mon meilleur ami se croyait de nouveau à l’âge de 23 ans. Il n’était plus le Sergent plein de promesses, mais pour combien de temps ?
pseudo /prénom + Aulie/Aurélie ville + La Roche sur Yon âge + 25 ans et quelques jours comment as-tu connu le forum? + Par Roxy :3 comment le trouves-tu ? + Superbe ton pêché mignon + Y en a tellement... que détestes-tu ? + L'hypocrisie connexion + 7jrs/7 Souhaites-tu devenir parrain ou filleul + [X] Parrain - [] Filleul - [] Aucun (Pour plus de renseingements, clique-ici) dernier p'tit mot + code du règlement + écrire ici
Spencer Hopkins
❝ Je joue dans la cour des grands ! ❞
MY IDENTITYAPPARITION : 02/03/2016 MESSAGES : 171 DESTINY POINTS : 3408 ÂGE : 29 ans. EMPLOI : Docteur-psychologue et sociologue en Centre de désintoxication et Hôpital de Burlington. ORIENTATION SEXUELLE :
Hétérosexuel(le)
AVATAR : Jarret Kennedy. PRESENCE :
Actif
CREDITS : bazzart & tumblr.
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Sujet: Re: Anna _ Ecrire c'est une manière de vivre Sam 21 Mai - 14:38
Etttt bienvenue à toi !!! Bon courage pour ta fiche et si tu as besoin n'hésite pas
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Sujet: Re: Anna _ Ecrire c'est une manière de vivre Sam 21 Mai - 15:58
Merci
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Sujet: Re: Anna _ Ecrire c'est une manière de vivre Sam 21 Mai - 19:26
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Sujet: Re: Anna _ Ecrire c'est une manière de vivre Dim 22 Mai - 19:41
Félicitation !! Ta fiche est validée
BIENVENUUUUE !! Te voilà enfin dans le vif du sujet. Tu vas pouvoir désormais attaquer les RP, demander un logements, des liens... Bref, faire vivre ton personnage au sein de Burlington.
Voilà, tu as tout vu ? Tu as remplis les formulaires importants ? Alors bienvenue chez toi ! Nous espérons que tu t'y plairas et en cas de soucis, n'hésites pas à nous contacter.
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Sujet: Re: Anna _ Ecrire c'est une manière de vivre Dim 22 Mai - 20:19
Merci :p
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Sujet: Re: Anna _ Ecrire c'est une manière de vivre